Le chanteur Renaud, dont on parle beaucoup en ce moment, a raconté plusieurs fois que la poétesse Louisa Siefert était son arrière-grand-tante. On se souvient que dans une lettre écrite à Charleville, le 25 août 1870, Rimbaud conseille à son professeur de lire les Rayons perdus de Louisa Siefert. Il en cite un extrait et déclare que c’est « aussi beau que les plaintes d’Antigone dans Sophocle ». Selon le chanteur, Rimbaud avait entretenu avec la poétesse une correspondance assidue dont son grand-père avait hérité. Malheureusement, les lettres ont disparu pendant l’exode de la Seconde Guerre mondiale suite au bombardement d’un train. Ceux qui connaissent Rimbaud savent qu’il est tout à fait vraisemblable que le jeune poète ait écrit à Louisa Siefert.
Tout récemment, le chanteur vient de vendre pour la coquette somme d’un million d’euros une planche d’Hergé qui est la fin du Sceptre d’OttoKar. Voir l’illustration en tête. Il faut être un bon tintinophile pour savoir où l’hydravion a amerri.
Il amerrit dans la rade de Marseille !
RépondreSupprimerC'est exact !
RépondreSupprimerDans l’enregistrement vidéo, Renaud raconte qu’il avait voulu racheter des lives et manuscrits de Louisa Siefert lors d’une vente à Drouot. On peut en effet retrouver l’annonce de cette vente facilement : faire sur google : Drouot + Louisa + Siefert. Il est amusant d’observer que le texte de Drouot confond Rimbaud et Baudelaire. Selon le chanteur les manuscrits et livres ont été achetés par une université américaine.
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